AVEC LES PARTICIPATIONS DE :
- Florian Chardon, directeur du Syndicat Mixte Canigó Grand Site. Lire le portrait
- Steve Hagimont, historien, directeur adjoint du département d’histoire de l’Institut d’études culturelles et internationales (Univ. Paris-Saclay), spécialiste de l’histoire environnementale du tourisme. Lire son portrait
- Charlotte Michel, créatrice du bureau d’études Usages et Territoires, chercheuse associée au Laboratoire de recherche en Architecture, coordinatrice du projet scientifique « Porquerolles en 2050 ». Lire le portrait
- Pierre Torrente, directeur du campus des métiers et des qualifications du tourisme pyrénéen (Univ. Toulouse-Jean Jaurès), président de l’association « Transition des Territoires de Montagne ». Lire son portrait
La rencontre s’est déroulée en deux temps : mise en débat de la problématique avec les intervenants (1h00) ; discussion avec tous les participants (1h00).
LA RENCONTRE EN PODCAST VIDEO
LA RENCONTRE EN PODCAST AUDIO
Pour préparer en amont la rencontre, diversifier les points de vue et les retours d’expérience, la Mission Agrobiosciences-INRAE a lancé un appel à contributions ouvert à toutes et tous, spécialistes du sujet comme néophytes.
Toutes les contributions :
« Surtourisme : on emploie le mot à tort et à travers », un entretien avec le géographe Rémy Knafou.
Le « sur » tourisme, un point de bascule, Marie-Julie Filipinni, consultante et professeure de tourisme
"Surtourisme" ? L’exemple de l’île d’Aix en Charente-Maritime », un entretien avec Dominique Chevillon, vice-président du Parc naturel marin de l’estuaire de la Gironde
Surtourisme : cherchons de vraies réponses, Samuel Houdemon, directeur de l’agence de développement KIPIK Conseils
« Adapter l’activité touristique aux nouvelles contraintes qui s’imposent à nous », Jean Micoud, directeur du Comité départemental du Tourisme de la Haute-Garonne
Comprendre l’anti-tourisme : entre anxiété culturelle et économique, Francesco Screti, docteur en philosophie et enseignant
Borderline : Les limites en débat dans les champs des sciences et du vivant
Après avoir piloté pendant plus de vingt ans les Controverses européennes, à Marciac puis à Bergerac, la Mission Agrobiosciences-Inrae initie un nouveau cycle d’échanges pluriannuels, au plus près des différents publics concernés, en coproduction avec le Quai des Savoirs. Son fil rouge ? Explorer les champs de tension qui s’exercent aujourd’hui autour de l’idée des limites, qu’elles soient frontière géographique, borne des savoirs, seuil éthique ou finitude des ressources. Des espaces intermédiaires souvent flous, que les uns souhaitent annihiler quand d’autres les voudraient inviolables. Se tenir tout au bord de ce trouble, saisir les états-limites qui traversent les champs des sciences et du vivant, c’est ce que propose BorderLine à partir de septembre 2021. Des débats accessibles gratuitement à tous les publics, laissant une large part aux échanges et aux regards croisés, pour instruire collectivement les points de frictions et les voies possibles, sans partis pris ni évitements. Il donne lieu, à l’issue de chaque rencontre, à la réalisation d’un podcast disponible sur toutes les plateformes d’écoute et ou d’un replay vidéo.
Le Quai des Savoirs. Un allié naturel puisque ce centre culturel de la métropole toulousaine consacré aux sciences, aux innovations, et à la création, invite à reprendre la main sur nos futurs par l’exploration des enjeux des recherches contemporaines et des différents récits prospectifs en cours. Expositions immersives, ateliers de pratique pour petits et grands, spectacles, rencontres publiques, publications numériques, résidences d’artistes… le Quai des Savoirs déploie toute une panoplie d’interactions entre les citoyens, les chercheurs, les créateurs, et les décideurs. En s’associant à la mission Agrobiosciences-INRAE pour interroger les limites en débat dans les champs des sciences et du vivant, il contribue à partager les savoirs, animer le débat public et imaginer des futurs désirables.