
#Printemps arabe. Qui sème du vent, récolte l’émeute
C’est reparti. Avec les mêmes mots, les mêmes constats désolés, les mêmes solutions proposées. Non, rien n’a changé, comme s’il s’agissait désormais d’un cycle fatidique auquel on s’habitue. Comme si l’on redécouvrait à chaque fois les failles du (...)