Autour d’une même table, professionnels des métiers de la santé, chercheurs en biologie mais aussi en sciences humaines ont pesé le pour et le contre - que savons-nous réellement des mécanismes qui conduisent à l’état d’obésité ? Quelles images véhiculent ces politiques nutritionnelles ? N’ont-elles pas tendance à stigmatiser le « gros » et à l’inverse à valoriser la minceur voire la maigreur ? - et identifié d’autres pistes d’actions possibles. L’éducation certes, mais aussi la lutte contre la pauvreté pour que tout un chacun, quels que soient ses revenus, puissent avoir accès aux aliments identifiés comme nutritionnellement corrects.
Avec en introduction de cette séance les points de vue de Max Lafontan, chercheur à l’Inserm, unité de recherche sur les obésités « Obésité, la part des faits, la part de l’exagération » ; Muriel Gineste, Espace de Formation et d’Information sur l’Alimentation « Avant c’était mieux : Utopie d’un passé idéalisé » et Geneviève Cazes-Valette, Professeur de Marketing à l’ESC Toulouse et doctorante en anthropologie, « Anomalie anomie : pourquoi tant de normes ? »
LIRE l’inégralité de la Conversation de la Maison Midi-Pyrénées :