André Pochon est persuadé du contraire, en s’appuyant sur sa propre expérience et sur les témoignages qu’il recueille. Une réalité, donc, dont il détaille les méthodes, les pratiques culturales et pointe les chiffres. Bref, il donne corps, concrètement, à cette fameuse « agriculture durable ». Le paradoxe : ce qui ressemble à une révolution
ne fait que prôner le bon sens, le retour aux règles de base de l’agronomie, le rythme des saisons et le bien-être des animaux...
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