22/02/2013
Dans le cadre de "Ça ne mange pas de pain !".

Nutrition du bétail : faut-il tout envoyer paître ? (interview originale)

Retour des farines animales, importation de tourteaux de soja OGM, polémiques autour de l’utilisation de protéines végétales pour nourrir le bétail alors que tout le monde ne mange pas à sa faim... En matière d’alimentation animale, on a le sentiment qu’il nous faudra choisir entre les farines animales et le soja ou le maïs OGM, alors même que les Français y sont opposés.
Comment sommes-nous passés des prairies aux systèmes d’alimentation actuels ? Existe-t-il d’autres voies ? Et quels défis se poseront à l’avenir, dans un contexte où la consommation de viande est appelée à croître ?
Autant de questions posées à Nathalie Priymenko, dans cet entretien réalisé en février 2012 dans le cadre de l’émission radiophonique de la Mission Agrobiosciences, "ça ne mange pas de pain !" - Alimentation animale : si on en faisait tout un foin ?. Cette docteur vétérinaire en nutrition alimentation de l’Ecole vétérinaire de Toulouse y répond point par point et sans langue de bois. Un entretien à relire à l’heure où la décision de la Commission européenne sur les Protéines animales Transformées ( les PAT) pour les poissons d’élevage relance les débats.

Nutrition du bétail : faut-il tout envoyer paître ?
Séquence "Les pieds dans le plat" ; émission de février 2012 de "çà ne mange pas de pain !" : Alimentation animale : si on en faisait tout un foin ?

Sylvie Berthier. Jusqu’à la fin des années 90, nombre de consommateurs français urbains, essentiellement, pensaient que le steak qu’ils mangeaient provenait de bœufs broutant paisiblement dans les champs. Et paf ! Crise de l’ESB où ils découvrent que, non seulement, ce n’est pas du bœuf mais de la vache - symboliquement ce n’est pas pareil – mais que, en plus, cette vache, nourrie avec des farines animales était devenue « carnivore ». Or, en Occident, il pèse un interdit sur la consommation des animaux carnivores. Pour nous, cela équivaut à manger du cadavre.
Nathalie Priymenko, pourquoi et comment est-on passé de la prairie aux farines animales, notamment les ruminants (comme les bovins et les ovins), ces herbivores qui devraient se suffire d’herbe et de foins ?

Nathalie Priymenko. Je commencerai par une petite mise au point : un carnivore est un animal qui n’est pas capable de digérer des glucides des végétaux, en particulier l’herbe. A cela s’opposent les herbivores qui, eux, sont capables d’utiliser ces glucides. Donc, la vache n’est jamais devenue carnivore. De toute manière la vache, même lorsqu’elle broute dans la prairie, est capable de digérer l’herbe et, parfois, ingère des vers de terre ou des insectes. Donc pour moi, c’est un faux problème.
Alors, comment est-on passé d’un système extensif - les prairies d’autrefois - à un système basé sur une alimentation composée contenant éventuellement des farines animales ? Cela est lié à l’histoire de l’homme.
Au départ, l’animal sert essentiellement à la traction puis, au 19ième siècle, les agronomes et les vétérinaires ont cherché à améliorer son alimentation dans le but de nourrir les hommes qui étaient de plus en plus citadins. Nous sommes passés de l’animal traction ou de l’animal valorisation des déchets à la ferme – le porc, les volailles mangeaient les restes de la maison - à l’animal aliment pour l’homme. Et la population humaine s’accroissant, il a fallu augmenter la capacité de production des animaux qui restait très limitée quand les animaux étaient en pâture. Prenons l’exemple du lait : une vache nourrie uniquement avec de l’herbe ou du foin produit 12-15 kg de lait par jour, au grand maximum. Vous comprendrez qu’il est impossible de fournir du lait à toute la population sur la base de ce rendement de production. D’où l’idée de donner aux animaux des aliments plus concentrés, contenant plus d’énergie, plus de protéines dans un plus petit volume.
Revenons aux farines animales. Justement, elles ont l’intérêt de posséder des protéines de très grande qualité au regard des besoins des animaux et de l’homme. Ces protéines contiennent beaucoup d’acides aminés essentiels, que les mammifères sont incapables de synthétiser et qu’ils doivent absolument trouver dans l’alimentation. C’est pour cela qu’hommes et animaux doivent manger de la viande ou, s’ils n’en mangent pas, des végétaux qui contiennent ces acides aminés essentiels, comme le soja. Donc, pour valoriser les déchets d’abattoir et autres, on était capables, en les cuisant, d’obtenir une ressource riche en acides aminés essentiels. Cette farine était ensuite incorporée à un mélange de céréales, de tourteaux de tournesol ou de soja - résidus des graines après extraction de l’huile -, des minéraux, des vitamines, puis distribuée en complément des fourrages aux bovins. Donc, la vache n’est pas devenue carnivore. Elle ne mange pas son steak le matin au petit déjeuner !

Sylvie Berthier. En 2000, les farines animales porteuses du prion ont été interdites. Il a donc fallu trouver d’autres sources de protéines à bas coûts, pour que l’élevage reste rentable, car le coût de l’alimentation des animaux dans un élevage peut être très lourd et atteindre jusqu’à 50%. Au passage, les producteurs de porcs se sont mis à râler : ils disent qu’en leur imposant des protéines végétales, à la place des farines animales, on a rendu leurs cochons végétariens !
Mais, le hic, c’est que la France et l’Union européenne étant déficitaires en protéines végétales (soja, maïs, colza), elles doivent en importer massivement. Et la source la plus importante disponible dans le monde reste le soja OGM.
Or les consommateurs européens, les Français en tête, sont opposés aux OGM. A partir du 1er juillet 2012, un étiquetage « sans OGM » sera d’ailleurs appliqué sur les aliments. Cela ne devrait pas concerner beaucoup de viandes et de volailles puisque, aujourd’hui, les ¾ des aliments pour animaux contiennent des tourteaux de soja OGM. Notons que les éleveurs de bovins ou d’ovins, qui mettent leurs animaux en pâture et défendent un autre élevage, rétorquent qu’ils n’ont rien à gagner à ce nouveau label puisque l’herbe « sans OGM » n’existe pas ! Décidément, rien n’est simple !
D’abord sur les OGM : leur innocuité pour la santé animale donc ensuite humaine est-elle tranchée pour vous ?

Nathalie Priymenko. Une bonne fois pour toutes, certainement pas, parce qu’à chaque nouvelle construction de plante OGM, il faudrait faire des tests d’innocuité chez l’homme. Or, bien sûr, on ne s’amuse pas à faire cela chez l’homme. En revanche, des tests sont réalisés sur les animaux de laboratoire ou sur des espèces cibles, comme les bovins, les porcs, etc.
A ce jour, les OGM qui ont été testés soit sur des animaux de laboratoire, soit sur des porcs, des volailles ou des bovins, ne présentent pas, en terme d’alimentation, plus de différence que des variétés nouvelles conventionnelles. Je m’explique : lorsqu’on mange du riz ou de la tomate, on peut retrouver ensuite des fractions d’ADN ou d’ARN circulant dans les tissus de celui qui en a mangé. Il n’y a rien de spécifique aux OGM. Ce qui est intéressant avec les plantes transgéniques, c’est qu’elles ont permis de poser de nouvelles questions. Par exemple : lorsqu’on introduit une nouvelle variété - qu’elle soit OGM ou pas - que se passe-t-il spécifiquement en termes de digestion, de métabolisme ? Est-ce dangereux ou pas ? Est-ce que la plante apporte un plus en terme de nutrition ? Avant l’arrivée des OGM, ces questions n’étaient jamais posées avec des variétés conventionnelles. L’arrivée d’une nouvelle tomate résistant plus longtemps, sans pourrir ou d’une carotte plus productive ne soulevait aucune question sur leur intérêt nutritionnel.
Alors ma réponse va être claire : en termes de santé animale, les OGM actuellement donnés aux animaux – donc testés - ne posent aucun problème de toxicité particulière.

Sylvie Berthier. Les farines ont été interdites, nous avons eu des OGM. Nous ne voulons pas d’OGM, les farines vont peut-être revenir. N’y-a-t-il aucune alternative ? Ne peut-on planter les végétaux nécessaires ?
Nathalie Priymenko. Il n’y a pas des végétaux nécessaires. Le soja est particulièrement plus intéressant que les autres végétaux, parce qu’il contient de la lysine, un acide aminé essentiel rare dans les plantes, et en quantité relativement très élevée par rapport à l’énergie fournie par cette plante.
Mais le problème du soja est multiple : sa production en France reste désespérément extrêmement faible, car il lui faut une durée de végétation très longue et sans gel. En gros, le soja est planté au mois de mai ; il doit être irrigué. Il demande assez peu d’engrais et pousse relativement facilement mais les rendements finaux restent relativement faibles par rapport à d’autres productions. On est très loin, en France, des quantités autorisées à produire. La production de soja reste donc très marginale et permet surtout d’obtenir du soja non OGM utilisé en particulier par l’Agriculture Biologique (qui n’a pas le droit d’utiliser d’OGM). Reste que ce soja est beaucoup plus cher, de 10 à 15%, par rapport aux cours mondiaux.

Sylvie Berthier. Pas d’alternative aux farines et aux OGM ?
Nathalie Priymenko. Plusieurs tentatives ont été menées de renforcer la culture, par exemple, de graines protéagineuses, riches en protéines comme le pois, la féverole, les fèves. Cependant, ces graines, contenant beaucoup plus de parois végétales que le soja, ne peuvent pas être utilisées en grande quantité dans l’alimentation des omnivores ou des non herbivores. Les volailles par exemple ne digèrent pas bien les parois végétales. Autre problème, ces protéagineux contiennent beaucoup moins de lysine que le soja et de plus, contiennent même parfois, des substances anti-nutritionnelles, qui s’opposent à la digestion ou à l’utilisation de certains nutriments, ou peuvent s’avérer toxiques. On peut donc en mettre en petite quantité dans l’alimentation des animaux mais pas autant que le soja.

Sylvie Berthier. La nutrition des animaux est une vraie science. D’un point de vue économique, maintenant, le marché mondial des aliments complets pour les animaux s’élève à 700 millions de tonnes. Avec plus de 22 millions, la France est le premier producteur européen (en 2008). Ce marché partagé par des groupes privés intégrés, des coopératives, des entreprises spécialisées est sans doute juteux. Qui met au point les produits, qui les contrôlent et les autorisent ?
Nathalie Priymenko. Plusieurs réactions. D’abord le mot juteux. Ce n’est pas le bon terme. Les coopératives, les industries en alimentation animale sont des entreprises à très faible valeur ajoutée, dégageant des bénéfices très modiques sur chaque aliment contrairement, éventuellement, à l’industrie de l’alimentation humaine ou à celle destinée aux carnivores domestiques.
Dans ce système économique très tendu, les éleveurs et les fabricants d’aliments pour animaux réalisent vraiment une petite marge.
Maintenant, comment sont élaborés ces produits ? C’est très simple. Les scientifiques ont déterminé des besoins pour chaque espèce animale, voire pour chaque tranche d’âge au sein de chaque espèce : un jeune porc, un porc un peu plus grand…
A partir de ces besoins, les fabricants d’aliments essaient de fabriquer une formule complète qui permet de répondre à tous les besoins des animaux, du moins pour les porcs et les volailles. Comme si nous, les humains, recevions chaque jour un produit complet nous permettant de couvrir tous nos besoins en énergie, protéines, acides aminés essentiels, vitamines, minéraux… Ce serait d’ailleurs très monotone, mais les animaux, eux, s’en moquent.
Quand un industriel a décidé de nourrir un jeune porc, par exemple, il mélange des doses connues de différentes matières premières, dont il connaît les caractéristiques, pour obtenir un aliment complet équilibré. Toujours avec le souci d’obtenir, in fine, l’aliment le moins cher possible afin que l’agriculteur puisse l’acheter. Car l’alimentation animale représente de 50% jusqu’à 2/3 du coût de production des animaux.

Sylvie Berthier. Une question prospective pour terminer. 50% des céréales produites dans le monde vont à l’alimentation animale. Sans parler de celles qui vont aux biocarburants (40% de la production de maïs américain en 2011). Et d’ici 20 à 30 ans, la production mondiale de viande devrait de nouveau doubler. Pensez-vous que ce soit tenable ? Dans ce contexte, quels sont les défis pour l’alimentation animale dans les 20 ans à venir : sont-ils scientifiques, politiques, sociétaux ?
Nathalie Priymenko. A mon avis, ils sont plutôt économiques, politiques, sociétaux…
Il est dit que la vache du riche mange le grain du pauvre. C’est plus ou moins vrai bien sûr, sachant que les habitants des pays émergents, comme l’Inde, la Chine…, s’enrichissent, ils mangent de plus en plus de viande. Quand les revenus des humains augmentent, ils se mettent à manger de la viande. Je dirais que c’est « humain » et inévitable.
En revanche deux choses me font réagir. D’abord, que la spéculation sur le prix des matières premières soit possible. On spécule en bourse sur le blé ou le maïs, comme sur n’importe quel minerai ou action de société. Cela me fait bondir, parce que quelques centimes de plus peuvent changer l’équilibre alimentaire de pays pauvres.
Ensuite, je pense que les agrocarburants constituent une très grosse menace, du fait qu’ils consomment une grande partie des produits utilisés par l’homme, et non pas des sous-produits ou des co-produits inutiles en matière d’alimentation. J’avais calculé que si nous voulions, en France, utiliser l’huile de colza pour faire rouler nos voitures et nos camions, il nous fallait dix fois la surface agricole utile actuelle du pays en culture de colza. Pour moi, les enjeux sont là.

PROPOS DE TABLE
Discussion avec les chroniqueurs

Valérie Péan. Vous n’avez pas parlé de la luzerne, or il s’avère que c’est la reine des légumineuses, une des plantes les plus répandues pour nourrir le bétail. Elle dispose d’un taux protéique très intéressant, nécessite très peu de pesticides et, en plus, elle fertilise les sols. La luzerne, c’est fichu en France ?
Nathalie Priymenko. La luzerne est un élément indispensable, mais il ne peut se suffire à lui même, simplement parce que cette plante, qui possède des taux de protéines certes très élevés et des nutriments comme le calcium en particulier, dispose aussi d’un taux de cellulose brute (de fibres) trop importants pour l’intégrer en grande quantité dans l’alimentation des animaux monograstriques.

Sylvie Berthier. Ne peut-on traiter la luzerne en amont et « casser » cette cellulose pour que la plus plante soit plus digeste ?
Nathalie Priymenko. Il y a eu des essais, notamment parce que la luzerne a été proposée pour devenir un complément assez idéal pour l’alimentation humaine, dans certains pays en voie de développement. Reste que, à ce jour, aucun moyen simple n’a été trouvé pour rendre, d’une part, la luzerne agréable à manger – bien que ce ne soit pas essentiel- et, d’autre part, pour limiter sa teneur en fibres qui diminuent la digestibilité.

Bertil Sylvander. Vous disiez la vache mange le grain du pauvre…
Sachant qu’une vache consomme environ 6 g de protéines pour produire 1 g de protéine de viande, combien faudrait-il de planètes si on voulait que tous les humains mangent chacun, comme en France, au moins 50 kg de viande par an. A-t-on suffisamment de surfaces agricoles pour produire l’alimentation nécessaire à tous les animaux d’élevage ?
En fait, le problème est le même que pour les agrocarburants : si « dix France » sont nécessaires pour faire rouler les voitures, combien faut-il de planètes pour que tous les hommes puissent manger autant de viande ?

Nathalie Priymenko. Je pense que tout le monde ne peut pas manger autant de viande qu’en France ou, pire, qu’aux Etats-Unis. Le problème est un peu différent de celui des agrocarburants, car il ne faut pas considérer la vache comme un voleur d’aliment.
Les ruminants sont capables d’utiliser des végétaux que l’homme ne peut pas digérer, tels que les prairies (nous n’allons pas brouter l’herbe !). Et puis, certaines zones ne sont pas absolument valorisables par d’autres animaux que des ruminants. Un exemple. A l’heure actuelle, dans le Sahel, quand l’agriculture n’est quasiment plus possible, la seule ressource qui reste pour les gens, ce sont justement des ruminants. De petits ruminants vont servir par exemple de réserves alimentaires, car ils sont capables de consommer des choses, comme des bouts de bois, absolument inconsommables par l’homme. A l’inverse des agrocarburants, on ne peut donc pas se passer des ruminants.

Théo Verprat. J’ai lu que dans un élevage porcin, plusieurs cas d’intoxication, dus à une surconsommation de vitamine D, auraient été détectés. Consommée à forte dose, cette vitamine peut-elle être nocive voire mortelle ?
Nathalie Priymenko. Toutes les vitamines qui se stockent peuvent être nocives. Par exemple, l’excès de vitamine A peut être catastrophique chez l’homme. Il est connu que des gens qui prennent des vitamines tous les matins pour se donner du pep’s peuvent finir à l’hôpital. Chez les animaux, pour encadrer cette consommation, il existe la loi sur les additifs. Elle considère un certain nombre de vitamines qui se stockent dans les organismes et préconise des teneurs minimales et maximales à ne pas dépasser dans les aliments. S’il y a eu un problème d’intoxication, il peut être lié à une erreur de fabrication dans l’usine, bien que les méthodes et les process industriels sont faits pour limiter au maximum ce type d’accidents.

Emission de février 2012 de "çà ne mange pas de pain !" : Alimentation animale : si on en faisait tout un foin ?

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Une interview de Nathalie Priymenko, docteur vétérinaire en nutrition alimentation, Ecole vétérinaire Toulouse, par Sylvie Berthier, Mission Agrobiosciences

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