25/01/2018
L’analyse d’une controverse par les étudiants de Sciences Po Toulouse

Peut-on faire une omelette sans casser d’oeufs ?

Les Français absorbent 8% de protéines d’origine animale de moins en moyenne qu’en 1992. En cause ? Les crises sanitaires, le souci de la préservation de l’environnement, le respect du bien-être animal, la recherche d’une alimentation plus saine, la lutte contemporaine contre certaines maladies chroniques... Autant de facteurs disparates à considérer dans nos habitudes alimentaires.
Si végétariens et vegans sont encore très marginaux dans notre société, la tendance semble bien installée. Au point que les pouvoirs publics parlent de “transition nutritionnelle”. Pourtant, les connaissances scientifiques autour de la substitution de protéines végétales aux protéines animales restent peu stabilisées : les conséquences sur la santé ainsi que sur la croissance des enfants sont des questions qui divisent toujours les scientifiques.

Le dossier synthétique (17 pages), réalisé par les étudiants* du Master 2 "Risques, Science, Environnement et Santé" de l’IEP de Toulouse, en collaboration avec Valérie Péan de la Mission Agrobiosciences-Inra. Au menu, analyses des arguments et des résistances, infographies, glossaire...

En complément, n’hésitez pas à entrer dynamiquement dans la cartographie de cette controverse, réalisée avec Antoine Doré, sociologue à l’Inra Toulouse (Umr Agir, équipe Odycée). Ludique, ces pages numériques vous permettront d’aider "Mémé" à composer son repas de Noël, sachant que chaque convive a ses pratiques alimentaires propres...

* Océane BIABIANY, Antonin DELATTRE, Emma KLOBOUKOFF, Fiona MILLE, Ophélie MARTINS, Eve QUILLEVERE, Corentin RABIER, Vincent RIF.

protéines végétales vs protéines animales- 25 janvier 2018

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