07/02/2013
Vient de paraître, dans le cadre des 18èmes controverses européennes de Marciac

L’agriculture peut-elle devenir postmoderne ? (publication originale)

P. Denoux. Photo de V. Brill pour la MAA

L’agriculture a-t-elle le droit d’être moderne ? Telle était la question que se proposaient d’instruire les 18èmes Controverses européennes de Marciac, co-organisées par la Mission Agrobiosciences, les 1er et 2 août 2012, au regard de la mise en cause, par nos sociétés, du modèle agro-industriel. Finalement, qu’est-ce que la modernité ? Pourquoi y aspire-t-on avec tant de force ? En conclusion de ces Controverses, Patrick Denoux a rappelé ces questions fondamentales et dressé le portrait d’une agriculture en proie aux différentes crises culturelles qui secouent le monde moderne. Délitement des liens, grand-écart entre un monde agricole idéalisé et la réalité socio-économique de ce secteur, incapacité de débattre collectivement de certains sujets sont autant de difficultés que ce Professeur en psychologie interculturelle identifie. Reste ceci : si l’agriculture et la ruralité subissent de plein fouet les crises actuelles, elles constituent un terreau fertile pour en sortir.

L’agriculture peut-elle devenir postmoderne ?

Patrick Denoux. Arnold Schönberg avait composé un opéra intitulé Von Heute auf Morgen - du jour au lendemain - dont la dernière phrase était : « Maman, qu’est-ce que c’est des hommes modernes ? » Ma première question sera : qu’est-ce que c’est des agriculteurs modernes ?

Eléments de définition du monde agricole moderne

Ma première fréquentation de la question posée fut par l’entremise de Gaston Lanneau, Professeur de Psychologie sociale qui, devant un amphithéâtre de jeunes étudiants éberlués dont j’étais, développait les conséquences psychosociologiques de l’introduction du tracteur dans les campagnes. Au cours de cet enseignement, une chose m’avait étonné. Certains paysans de l’Aude, à peine s’étaient-ils endettés pour acheter le tracteur, qu’ils le rangeaient dans la grange tout en continuant à lui préférer l’attelage de chevaux. Le tracteur y était gardé voire regardé. A peine ce qui était à l’époque appelé la modernité commençait-elle à émerger, que le tracteur devenait déjà de façon très postmoderne un signe à détenir et à arborer plus qu’un outil à utiliser et à rentabiliser. Le point de départ de notre réflexion est ce tracteur, un objet moderne advenu d’emblée un signe postmoderne. Ainsi, la notion de modernité n’a que peu de réalité. Que reste-t-il de la cuisine en Formica qu’affichait la villa censée remplacer la ferme ? La question de savoir si l’agriculture aurait le droit d’être moderne me semble transformer bizarrement un état de fait en revendication. C’est un état de fait : l’agriculture est moderne, de toute évidence. En revanche, cette interrogation sous-entend qu’il serait souhaitable que l’agriculture fût moderne, comme si, de ce fait, elle accédait à un état achevé de l’histoire. Cela reste une question : faut-il souscrire à la modernité ? Léon Bloy, écrivain du tournant du XXème siècle, décrivait ainsi la modernité : « Le monde moderne : une Atlantide submergée dans un dépotoir ».

L’aspiration à la modernité en revanche nous pose question : pourquoi briguer la modernité ? Cette question interroge d’autant que la modernité, par définition, est fugace. Immanquablement, lorsque j’ai lu l’intitulé de cette controverse, j’ai pensé à Bouvard et Pécuchet, les fameux complices du roman de Gustave Flaubert. Confit de sciences modernes, Bouvard s’ingéniait à pratiquer la phlébotomie : il saignait ses bœufs tous les quinze jours, afin de les engraisser. Ils en sont évidemment tous morts. Ou bien, en cherchant à se débarrasser des vers du hanneton qui mangent les racines de maïs, de mil et les pommes de terre, il avait enfermé des poules dans une cage à roulette que deux hommes poussaient derrière la charrue. Les poules étaient censées manger les vers, soulevés par le soc mais elles eurent les pattes brisées par la cage. Au terme de ces expériences granguignolesques, les deux compères conclurent que l’agronomie pourrait bien être une « blague ». En l’occurrence, n’est-ce pas plutôt l’aspiration à la modernité qui pourrait bien être une blague ? Qu’est-ce que la modernité finalement ? Nous ne cessons de dire que le monde qui suit est toujours le monde moderne et nous ne cesserons de le nommer ainsi. Comme l’écrivait Charles Péguy, dans un essai intitulé l’Argent, le monde moderne est peut-être « le monde qui fait le malin ».

Un autre préalable extrêmement important : il faut considérer l’agriculture dans sa définition intrinsèque. De plus en plus, nous constatons que l’agriculture se définit à partir de l’alimentation, de l’enseignement agricole, ou de bien d’autres perspectives telles que la ruralité. Et en même temps, nous n’avons jamais autant senti la nécessité, et pendant ces deux jours identiquement, de créer les conditions d’une auto-organisation du monde agricole. On a beaucoup évoqué, pendant ces rencontres, l’autonomie, l’horizontalité, le mouvement ascendant si bien caricaturés par les Bataclown [1]. En réalité, le paradoxe de l’agriculture post-moderne est que maintenant s’impose à elle une auto-organisation dans un contexte d’hétérodéfinition.

Mais revenons à l’agriculture moderne qui subit de plein fouet les crises culturelles contemporaines. Je vais en énumérer trois pour montrer comment l’agriculture, en supporte les conséquences. Et en quoi elle peut pareillement constituer un espoir pour les résoudre. Crise de la confiance, crise de la raison, crise du rapport à soi. Je ne suis pas loin de penser, comme Benoît Goetz, Maître de conférence en philosophie, que la modernité est comme une sorte de friperie où l’on tente de recycler des anciens habits de lumière qui sont quelque peu ternis, mais où finalement nous n’arrivons à produire que du kitsch. Mais alors, quelles sont ces crises culturelles ?

La ruralité est le lieu où se fonde l’interculturalité

Revenons à la première crise : la modernité nous a délivré de la croyance mais, ce faisant, elle a aussi déconstruit le lien social. Jean-Marie Guilloux nous a dit en introduction : « émancipez-vous ! » Mais, que diable, la modernité nous a déjà émancipés, de la religion notamment. Comme vous le savez, étymologiquement : religere, c’est relier. Ce faisant, elle a aussi détruit du lien. Nous voyons disparaître des horizons moraux immémoriaux ; l’homme moderne est fondamentalement désenchanté, par vacuité du projet et par absence d’ordre transcendant. L’agriculture comme tout autre secteur est objet de cette déliaison. Il suffit d’interroger le tissu rural pour se convaincre de l’ampleur de cette dislocation.

Cette tâche n’est pas évidente car il faudrait déjà pouvoir définir la ruralité. Or à l’heure actuelle, elle devient presque indéfinissable. Un exemple concernant ses multiples formes. Je fais une comparaison rapide, en traçant un triangle de trois cents kilomètres de côtés, Lille-Amsterdam-Francfort, on obtient une zone de près de quatre cents cinquante habitants au kilomètre carré. C’est la densité du Rwanda, comprenant de très grandes métropoles (La Haye, Anvers, Bruxelles) et quatre pays impliqués : les Pays-Bas, la Belgique, la France et l’Allemagne. Pour la même superficie en France, par exemple Toulouse-Bordeaux-Limoges, la densité est dix fois moindre : quarante-cinq habitants au kilomètre carré. Comment produire une définition homogène de la ruralité sur de telles bases ?

La postmodernité nous oblige à redéfinir la ruralité par rapport à l’urbanité. Je propose une définition : la ville est le lieu où se fabrique la culturalité, où se renforcent les appartenances culturelles ; la ruralité est le lieu où se fonde l’interculturalité. L’urbanité donne chair à des différences stigmatisées, elle fait la voie et le lit de nombreux communautarismes ou irrédentismes. Elle instaure la répartition sociale et spatiale de masse. Le monde urbain privilégie une indépendance forte. La ruralité, au contraire, crée des systèmes de contiguïtés forcées et d’interdépendances sur un espace restreint. Elle génère actuellement des gestions de différences culturelles dont l’urbanité ferait bien de s’inspirer. Le rural est le lieu où se constitue un laboratoire de traitement de la différence culturelle et où se produit l’interculturation. Lorsque je fais référence à des différences culturelles, je parle du brassage des métiers, de l’internationalisation, du tourisme, d’émigration, d’implantation des étrangers dans les villages etc. À ceux qui n’auraient toujours pas compris ce qu’est l’interculturalité, je leur rappellerai simplement le nom d’une entreprise "locale" : Qingdao Gascogne Grape Wine Co. Ltd. [2] Tout est résumé : la région, les nations et les standards internationaux. Voilà un bon exemple d’inter-culturation.

L’agriculture postmoderne conduit à un pacte agricole de restructuration de la ruralité, par inter-culturation des différences. La place de l’agriculteur dans cette affaire n’est plus à spécifier : elle est à préserver, voilà la question majeure du moment. L’agriculteur a été fondateur de cet espace rural, il en est maintenant plus ou moins expulsé. Enferré dans les mêmes problématiques que l’émigré, à la différence qu’il est à l’origine de cet espace, il s’agit maintenant qu’il transforme cette exclusion en réintégration. Son activité générique n’est plus décisive pour l’espace rural, elle ne l’est plus pour l’activité économique globale : sa contribution au produit intérieur brut se réduit comme peau de chagrin. Elle n’est plus non plus organisatrice de la vie rurale. Peu à peu, alors que la valeur de l’incidence productive agricole décroît, sa valeur symbolique s’accroît. C’est là un questionnement paradoxal que nous devons résoudre. La ruralité postmoderne relève d’un pacte agricole intégrant les agriculteurs dans un nouveau paysage rural qui tient compte de ce paradoxe. Il faut, dans ce sens, redéfinir la ruralité à partir de l’interculturel. Nous en sommes les acteurs ici-même, à Marciac. De nouvelles formes de ruralité émergeront qui donneront à l’agriculteur une place honorable, quand bien même ses fonctions devraient être redéfinies.

L’activité agricole actuelle est idéalisée mais non reconnue

En ce qui concerne la reconnaissance du paysan, permettez-moi de me lancer dans un exposé plus périlleux. La phrase redoutable d’Emil Cioran, philosophe et auteur roumain, « Être moderne, c’est bricoler de l’incurable », introduit bien mon propos. Je veux parler du suicide des paysans et du désarroi du monde agricole face à une tâche parfois ressentie comme trop lourde. Je vais prendre l’exemple de ce paysan du Lot qui, ayant appris que la Confédération Paysanne allait pique-niquer sur son champ, où il cultivait secrètement, c’est le point le plus important, des OGM, s’est pendu à un arbre en laissant à ses pieds le tract de la Confédération. Cet individu est mort pour partie de la honte qu’il aurait eu de devoir reconnaître publiquement qu’il cultivait des OGM. Si je dis cela, ce n’est bien évidemment pas pour accabler la Confédération Paysanne mais pour que nous nous interrogions sur notre incapacité à traiter ces questions dans des débats publics locaux. Comment se fait-il que cet homme, lorsque son secret a été découvert, en soit venu à de telles extrémités ? Mais d’une manière générale, le statut du débat public ne peut à lui seul expliquer la totalité de ces actes suicidaires.

L’activité agricole actuelle est idéalisée mais non reconnue. Elle n’a pas de prix, dans le double sens du terme : sa production est vitale et, dans le même temps, sa valeur marchande et sociale s’en trouve déniée ! Il y a là un véritable hiatus entre la valeur affichée et ce qui en est fait au niveau marchand et social, c’est-à-dire rien. Comment voulez-vous qu’un paysan ne s’impute pas à lui-même un tel écart ? Tout le monde, dans notre pays, est attaché à l’alimentation et à des cultures agricoles de très bonnes qualités mais cela n’a, proportionnellement, que peu de répercussions matérielles. Dès lors, la tentation est grande d’un point de vue personnel, de s’attribuer à soi-même cet échec, alors qu’il s’agit peut-être d’une incurie politique au sens large. Dès maintenant, il faut accorder les idéaux de notre société au processus concret de reconnaissance de ces derniers. Il faut créer des espaces locaux de résolution, faisant appel à l’intelligence collective, pour permettre de combler cet écart. L’agriculture postmoderne relève d’un pacte agricole de reconnaissance, une réelle politique de revalorisation.

La raison émancipatrice est venue s’échouer sur une rationalité instrumentale

Deuxième crise, la modernité nous a aussi affranchi de la raison. Nous avons tout à l’heure invoqué Descartes, mais le problème est que la raison émancipatrice est venu s’échouer sur une rationalité instrumentale. Raisonner a laissé la place à rationaliser. Nous ne sommes centrés actuellement que sur les moyens et nous avons perdu de vue les buts. Combien ça coûte ? Est-ce que ça marche ? Combien ça rapporte ? Comment se le procurer ? Telles sont les questions que l’on se pose désormais et qui témoignent d’une rationalité instrumentale. Même la coopération n’est conçue que comme une association lucrative sans but.

Cette rationalité altère la redéfinition de l’agriculture. L’eau, la sécurité alimentaire, l’autonomie protéine, les gaz à effet de serre, la biodiversité, sont autant d’enjeux auxquels doit faire face l’exploitation agricole. Au vu de ces tiraillements majeurs entre injonctions contradictoires, il est fondamental de la redéfinir. Doit-elle être pensée en référence à la famille, à l’entreprise, à l’Etat, à l’organisation professionnelle, aux territoires ? Doit-elle se caractériser par sa spécialisation ou au contraire par sa multifonctionnalité ? Par ses capacités propres ou par son partenariat contractuel ? Il y a là un chantier fondamental auquel nous devons nous attaquer. Il n’y aura pas d’agriculture postmoderne sans un pacte de redéfinition productive et identitaire de l’exploitation agricole.

L’agriculture et la ruralité sont des creusets pour de nouveaux symboles collectifs

Il y a enfin la troisième crise, celle du rapport à soi. La période moderne nous a transmis la culture rousseauiste puis romantique, où l’urgence est d’être dans un rapport authentique à soi-même, s’écouter, ou comme Protagoras, philosophe présocratique, être à soi-même sa propre mesure. Ce rapport authentique à soi s’est enlisé dans un individualisme triomphant. Se faire plaisir jusqu’à l’évanouissement du désir, s’acharner sur soi-même jusqu’à n’être plus rien, nous cherchons à bien en profiter pendant que les élites deviennent nihilistes. Voilà la chimère consumériste d’être le créateur de soi. Or l’agriculture et le rural ont, à ce niveau-là, une très lourde tâche.

Ce sont des lieux où s’élaborent encore des formes symboliques collectives de notre société et ce pour trois raisons. Tout d’abord parce qu’autour de l’agriculture et de la ruralité se forme la question de l’origine, que nous fantasmons tous. L’agriculture pose ensuite la question de l’alimentation, donc de l’incorporation, avec le risque d’empoisonnement, ou au contraire, le bénéfice santé. Enfin, il y a la question du rapport à l’environnement. L’agriculture et la ruralité sont des creusets pour de nouveaux symboles collectifs du commencement, du rapport à soi et au monde. Pour le moment nous n’en sommes pas là, saisis d’effroi devant la technologie. Du paysan sans terres nous sommes passés au paysan centaure, mi-tracteur mi-homme, qui bricole avec la transgénèse, des aliments supplémentés. Amplifions la capacité qu’a l’agriculture de générer de nouveaux symboles car déjà, partout sur le territoire, ces symboles sont en train d’émerger. L’agriculture postmoderne relève d’un pacte agricole d’endiguement de la marchandisation par une nouvelle symbolique.

Pour terminer, comme il y a quelques temps au Mans, j’avais envie de demander à mon voisin d’estrade, M. le Ministre de l’Agriculture : « verrons-nous un jour les tenants de la décision publique s’intéresser aux effets psychoculturels induits par leurs choix ? ». Puissions-nous bientôt voir les politiques intégrer ces effets psychoculturels comme prémisses de la décision au niveau national et international. Edgard Pisani, ancien ministre de l’Agriculture, écrivait : « Moderniser c’est construire ; mais c’est d’abord détruire. Au lieu de payer pour entretenir la pauvreté, autant payer pour provoquer le changement ». Peut-être alors que dans l’esprit de ces quelques réflexions, l’agriculture cessera de devenir un sujet de société pour devenir une société du sujet.

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Par Patrick Denoux, Professeur de psychologie interculturelle à l’Université d’Amiens

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[1Les Bataclown sont une compagnie de clown théâtre qui donnent le point de vue des clowns "pour de rire et pour de vrai" sur ce qui se passe et se dit dans ces assemblées.

[2En référence au témoignage de Jean-Pierre Grange faisant état de la joint-ventureque les producteurs Plaimont ont bâtie avec une entreprise chinoise


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