25/10/2007
Les Actes de la 13ème Université d’Eté de l’Innovation Rurale

Michel Griffon : Agriculteurs, saisissez-vous des questions environnementales !

M. Griffon. Copyright P. Assalit

En ouverture de cette Université d’Eté de l’Innovation Rurale*, Michel Griffon, fin connaisseur des politiques agricoles dans le monde, et auteur du livre "Nourrir la planète" (2006), nous proposait, le 2 août 2007, de revisiter nos modèles agricoles pour appréhender pleinement une agriculture à haute qualité environnementale.

* Organisée à Marciac par la Mission Agrobiosciences et la Communauté de Communes Bastides et Vallons du Gers, avec le soutien financier du Conseil Régional Midi-Pyrénées et du Conseil Général du Gers.

Etat d’épuisement...

"Je souhaite évoquer l’avenir de l’agriculture européenne et mondiale, mais particulièrement celui de l’agriculture française tel qu’on peut l’imaginer aujourd’hui en fonction des contraintes et des opportunités qu’elle connaîtra probablement. Peut-on imaginer une agriculture qui reste suffisamment productive pour couvrir les besoins alimentaires et énergétiques, tout en gérant l’environnement et le fonctionnement des territoires ? Cette question se pose parce que la situation actuelle n’est pas durable et qu’elle le sera de moins en moins. Les grandes agricultures productives, sur tous les territoires de la planète - en France, au Brésil comme dans les zones de la révolution verte en Inde - voient aujourd’hui leurs rendements plafonner. Par ailleurs, en raison de leur forte dépendance à l’égard de l’énergie, leurs coûts de production vont considérablement augmenter. Pensez à l’agriculture conçue sur le labour et voyez la quantité de carburant nécessaire pour le pratiquer à grande échelle. Si vous y ajoutez les engrais azotés, fabriqués essentiellement à partir de gaz naturel et à l’aide de hautes températures, vous obtenez presque la moitié de la consommation énergétique de l’agriculture... Par ailleurs, les autres engrais, tels que le phosphate et la potasse, sont d’origine fossile et ont donc, eux aussi, une durée limitée à l’échelle de l’histoire de la planète : 40 à 60 ans, au rythme et au coût d’extraction actuels. Au-delà de cet horizon, les gisements devenant de moins en moins accessibles, leur prix connaîtra un renchérissement à l’instar du pétrole.

Les traitements phytosanitaires n’ont guère plus d’avenir au sein du modèle agricole dominant que nous connaissons : cultiver de mêmes variétés sur des centaines de milliers d’hectares, c’est fournir un espace rêvé pour les insectes, bactéries, virus et champignons, favoriser leurs mutations génétiques et leurs résistances aux pesticides. D’où la véritable course aux armements que livre l’industrie agrochimique contre les pathologies végétales. Une guerre de plus en plus sophistiquée et onéreuse : il faut aujourd’hui dépenser 250 à 350 millions d’euros pour développer une nouvelle molécule ! Du coup, certains groupes commencent à se demander s’ils ne feraient pas mieux d’abandonner cette activité...
De même, comment ignorer cet autre grand facteur limitant qu’est l’eau ? Une ressource que consomment en abondance les grandes agricultures, au point que même dans les régions du monde où les précipitations sont abondantes, des conflits d’usage se font jour. Sachant que les scénarios en matière de changement climatique prévoient, à l’horizon 2080, la généralisation du climat méditerranéen sur la quasi totalité du territoire français, il nous faudra bien affronter la question de l’irrigation et de la reconstitution des nappes phréatiques.
Ailleurs, c’est la forêt qui menace de se réduire comme peau de chagrin, face à l’extension de très grandes exploitations. C’est le cas au Brésil où certains rêveraient de remplacer l’intégralité de la forêt brésilienne par des surfaces de maïs et de soja. Où va-t-on ? Nous sommes en train de détruire un des grands réservoirs de la diversité biologique de la planète. Je vous rappelle que tous les spécialistes considèrent qu’à l’échelle de l’histoire de la planète, nous vivons actuellement la sixième extinction massive des espèces vivantes, après celle qui a eu lieu pour les dinosaures, il y a soixante-cinq millions d’années.

Intensifier... les processus naturels.

Voilà un certain nombre de contraintes que nous devons gérer. Et nous sommes mal partis pour le faire sérieusement. Mais il y a aussi des opportunités pour les producteurs agricoles. Ainsi va-t-il falloir continuer à produire. Et même à produire plus. Nous l’avons dit et répété : il faut faire face à un besoin de doublement de la production alimentaire mondiale pour nourrir les neuf milliards d’habitants probables à l’horizon 2050. Et puis, l’agriculture va aussi devoir produire à des fins non alimentaires. Pour les biocarburants, inévitablement, mais aussi pour des agromatériaux, dans le secteur de la construction et de l’isolation thermique par exemple, fabriqués à partir de la biomasse tels que les résidus de coton dans certains pays. Enfin, ces dernières années, est apparue cette autre opportunité qu’est l’écotourisme, qui constitue un peu partout dans le monde - à la périphérie des parcs nationaux ou dans les régions qui bénéficient de paysages remarquables - un moyen considérable d’augmenter les revenus des agriculteurs le temps d’une saison ou deux par an.
Pour répondre à ces contraintes et à ces opportunités, la recherche doit se mobiliser pour contribuer à changer en profondeur les outils techniques, les modèles technologiques et, au-delà, les politiques d’accompagnement telles que la PAC.
Cette nouvelle vague de technologies porte des noms que vous avez déjà entendu : « agro-écologie », « éco-agriculture », « révolution doublement verte »... D’autres termes vont fleurir tels que l’ « agriculture à haute valeur écologique » ou encore, dans le cadre du Grenelle de l’Environnement, l’« agriculture à haute qualité environnementale ». On emploie aussi parfois le terme d’« agriculture écologiquement intensive » qui n’est pas toujours bien compris. Il désigne en fait une agriculture, non plus intensive en produits chimiques, mais qui utilise au mieux le fonctionnement des écosystèmes sans altérer leur renouvellement. D’une certaine manière, c’est une agriculture qui fait confiance aux capacités productives naturelles du vivant. Quelques exemples. De nombreuses agricultures traditionnelles, comme celle que nous avons connue au Moyen Age, sont fondées sur le labour pour détruire les mauvaises herbes. Elles se sont perpétuées à travers une agriculture coûteuse en énergie qui a fait « table rase » des écosystèmes. Le sol y est considéré comme un substrat physique sur lequel on prépare un lit de semences. Et comme le labour a provoqué une baisse de la fertilité naturelle des sols, on y adjoint des engrais. On y cultive une espèce et une seule, sans mauvaises herbes. Du coup, tant que la plante n’est pas sortie de terre, le soleil envoie de l’énergie lumineuse sur un sol nu qui ne sert à rien en termes de production de biomasse. Vient la plante cultivée qui grandit, formant un immense tapis végétal que l’on moissonne à maturité. Mais, une fois la récolte faite, le soleil continue, lui, à fournir de l’énergie sur un sol à nouveau nu, en plein été, là encore sans production de biomasse. Finalement, nous n’aurons utilisé qu’une partie de l’énergie solaire pour produire ces cultures alors que la biomasse supplémentaire aurait peu alimenter le sol en matière organique.

Traitement hormonal...

Dès lors, que faire pour optimiser le fonctionnement de l’écosystème dans ce domaine particulier ? Dès la fin de la culture, il faut couvrir le sol par une autre plante qui, utilisant le gaz carbonique de l’atmosphère, l’énergie solaire et les pluies d’automne, produit une biomasse qu’il suffit de laisser se décomposer pour se transformer progressivement en humus : un élément de fertilité naturelle supplémentaire pour le sol où sera semée la plante cultivée l’année suivante. Des techniques sont en cours de développement pour optimiser ce processus naturel qui existe depuis la nuit des temps. C’est un exemple d’intensification d’un phénomène écologique naturel.
Autre exemple, de nouvelles pratiques culturales permettent d’éviter le « matraquage » des ravageurs par des pesticides, tout en protégeant efficacement les cultures. Ainsi que le préconise Bernard Chevassus au Louis, des méthodes de défense « en profondeur » alliant par exemple différentes techniques de lutte préventive et d’intervention biologiques, des résistances variétales, des mélanges de culture peuvent être efficaces. Mais il faut pour cela par exemple, identifier tous les prédateurs des insectes nuisibles et de leur aménager les habitats qui conviennent dans les haies ou les flores environnantes. Mais d’autres choses tout à fait originales peuvent être initiées pour les piéger, par exemple avec des hormones sexuelles, qui permettent d’attirer les ravageurs dans un endroit où ils seront éliminés. C’est ce qu’aux USA on appelle des trapps and killing zones : une technologie en passe d’être opérationnelle outre-Atlantique. A nous d’explorer cette voie à notre tour, et dès maintenant. Certains de ces procédés existent de façon spontanée et empirique dans certaines régions du Monde, nécessitant peu de recherches agronomiques. A minima, ils permettent de maintenir le niveau actuel de rendement. Mais, dans la majorité des cas, ils permettraient de les augmenter, tout en abaissant les coûts de production, la facture énergétique et la pression sur l’environnement puisqu’ils jouent sur les mécanismes naturels. Cela dit, il ne faut pas pour autant s’interdire totalement la guerre chimique contre les maladies et ravageurs : à condition qu’elle intervienne en dernier ressort, quand toutes les alternatives ont été tentées sans succès.

Le sang de l’écosystème

Au-delà même de la production de leur exploitation, les agriculteurs pourraient être à même de maintenir, renforcer, voire rétablir les grands équilibres de l’écosystème, à travers des gestes que la plupart d’entre eux connaissent parfaitement. Ainsi, l’agriculture peut contribuer à lutter contre les incendies dans certaines régions en opérant des éclaircies qui coupent les voies que le feu emprunte sous les vents dominants. De même, pour lutter contre l’érosion des sols, il s’agit de placer des haies dans les endroits stratégiques, de reboiser des pentes, de créer des terrasses pour les cultures, d’utiliser des plantes pour assurer une couverture végétale qui protège le sol.... Cette même couverture végétale permet de retenir l’eau un peu partout dans le paysage, notamment grâce à des plantations de zones ripariennes . Il s’agit alors, non plus de multiplier des barrages et retenues, mais de « penser » l’eau et sa circulation, car elle est « le sang » qui irrigue la vie de l’ écosystème.
Concernant la biodiversité, en plus de la réintroduction de haies abritant des auxiliaires de l’agriculture, pourquoi ne pas multiplier les bandes enherbées qui jouent le rôle de jachères apicoles et maintiennent l’existence de pollinisateurs ? De même, il relève du simple bon sens que de créer des mosaïques de cultures et des rotations régulières plutôt que d’opter pour des centaines de milliers d’hectares d’une seule espèce, voire d’une seule variété.
Vous l’avez compris, un certain nombre de techniques obéissent à de multiples usages en termes de gestion environnementale : la lutte contre les mauvaises herbes et les ravageurs, le maintien du carbone dans les sols, la biodiversité, la préservation de sources de qualité...
Si vous y ajoutez une dimension esthétique, la mise en place de clôtures pour guider les animaux dans les zones d’élevage, l’entretien de sentiers de randonnée et l’ouverture de gîtes, l’écotourisme peut se développer, venant compléter le revenu de l’exploitation. Autrement dit, je le répète : qui mieux que les agriculteurs peuvent connaître tous les ressorts d’un territoire donné pour en améliorer la qualité écologique et esthétique tout en en restant très productif ?

Une recherche mobilisée, un contrat négocié

Tout cela ne pourra se faire sans une recherche forte et mobilisatrice. Elle doit approfondir les connaissances de la biosphère, cette mince pellicule de terre de 20 cm en moyenne, complexe et fragile, où vraisemblablement 150 000 espèces de bactéries travaillent à sa fertilité. C’est là que réside, tout simplement, le secret de la vie sur Terre. De même, la recherche agronomique peut mettre au point des espèces végétales adaptées aux défis que j’ai énumérés. Par exemple en proposant des plantes ayant un enracinement profond pour travailler le sol à la place des tracteurs et captant l’azote de l’atmosphère.
L’avancée de ces connaissances et la mise au point de nouvelles pratiques ne doivent pas uniquement faire l’objet de travaux de laboratoire, dans les grands centres scientifiques. Les programmes de recherche que nous financerons dans l’avenir doivent faire appel aux compétences des agriculteurs, à leurs savoirs historiques, à leur expérience d’un territoire donné. Car, je le répète, personne n’est mieux placé que lui pour gérer, sur chaque territoire, les grands équilibres du vivant pour le bienfait de l’ensemble de la société.
Du point de vue de la politique agricole, au-delà des outils que nous avons abordés hier, tels que l’assurance sur les revenus et le maintien d’une politique de quota, j’insiste quant à moi sur le contrat qu’il faut renouveler entre l’agriculture et la société. Au fond, c’est la société qui a demandé dans les années cinquante aux agriculteurs français de relever le défi de produire beaucoup plus afin de baisser les prix et d’acquérir la sécurité alimentaire. Aujourd’hui, la société comme les agriculteurs ont changé. Que demandons-nous ? Une agriculture suffisamment productrice, protectrice des paysages et à haute valeur écologique. C’est aux agriculteurs de se saisir de cet enjeu. C’est là une posture radicalement autre que celle qu’ils connaissent majoritairement aujourd’hui, en tant que cible des mouvements écologistes, bloqués psychologiquement dans une attitude de défense. Rester dans cette querelle stérile avec les mouvements écologistes, c’est perdu d’avance.
Au lieu d’être sommé d’être le payeur, parce que pollueur, le monde agricole, notamment à travers ses leaders, doit accepter de devenir l’un des gestionnaires clé et les entrepreneurs proactifs des solutions environnementales. Cette agriculture là repose sur la notion de contrat, implique directement les collectivités locales et s’articule autour de négociations, elles aussi locales, entre toutes les catégories sociales concernées par la formidable complexité d’un écosystème. Cela appelle des techniques de débat. Au fond, c’est ce que nous faisons à Marciac."

Télécharger les Actes de la 13è Université d’Eté de l’Innovation Rurale de Marciac, "Agriculture et territoires ruraux : quelle politique agricole européenne voulons-nous ?", document de 70 pages publié par la Mission Agrobiosciences et accessible gratuitement.

Par Michel Griffon, conseiller pour le développement durable au Cirad, président du Conseil scientifique du fonds français pour l’environnement mondial et de l’Institut d’études du développement économique, responsable du département Ecosystèmes et développement durable à l’Agence nationale de la recherche.

Lire les autres interventions de cette 13ème Université d’Eté de l’Innovation rurale :

Quand l’Europe se fait remettre à sa place par Jacques Le Cacheux

Politiquement, la PAC est déjà morte par Guy Paillotin

Une Pac, oui, mais pour une Politique ALIMENTAIRE Commune par Lucien Bourgeois

Lire les différentes contributions de Michel Griffon sur le site de la Mission Agrobiosciences

Accéder à toutes les Publications : Alimentation et Société- Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’alimentation. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.

Accéder à toutes les publications « Alimentation en Débats du Plateau du J’GO-.Un Télescopage de points de vue de scientifiques, producteurs et cuisiniers sur l’actualité de l’Alimentation et de la Société organisé par la Mission Agrobiosciences. En collaboration avec le bistrot du J’Go à Toulouse. Rencontres enregistrées et diffusées le troisième mardi de chaque mois de 17h30 à 18h30 et le troisième mercredi de chaque mois de 13h à 14h sur Radio Mon Païs (90.1).

Accéder à toutes les publications : Agriculture et Société Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’agriculture. Edité par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.

Accéder à tous les Entretiens et Publications : OGM et Progrès en Débat » - Des Points de vue transdisciplinaires... pour contribuer au débat démocratique. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences

Accéder à toutes les publications : Sur le bien-être animal et les relations entre l’homme et l’animal- Pour mieux comprendre le sens du terme bien-être animal et décrypter les nouveaux enjeux des relations entre l’homme et l’animal. Au cours de forums, de tables rondes, d’entretiens et de restitutions de colloques, la Mission Agrobiosciences cherche, au-delà du décryptage du terme bien-être animal, sujet à controverse, à déceler les enjeux et les nouvelles relations qui lient l’homme et l’animal et à en mesurer les conséquences pour le devenir de l’élevage, de l’alimentation et de la recherche médicale. Un débat complexe mêlant des notions de souffrance et de plaisir, d’éthique, de statut de l’animal, de modèles alimentaires...

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