10/05/2006
Chronique par Jean-Claude Flamant, Mission Agrobiosciences

« Paysage, expression de vie et du vivant » (Chronique Mission Agrobiosciences)

« Agriculture Société : pour quelle gestion du vivant ? » c’est le thème du cycle de conférences 2006 organisé par le Groupe de Camboulazet. Créé par Raymond Lacombe, ce groupe de réflexion sur la fonction de l’agriculture et des agriculteurs dans la société poursuit ses activités avec le concours permanent de son épouse, Marie-Thérèse Lacombe. C’est à une « leçon de paysage » qu’il nous a conviés à assister en ce matin de printemps aveyronnais. Le conférencier, Jean-Pierre Deffontaines, directeur de recherche INRA, fait référence en matière de compréhension des systèmes agraires avec une préoccupation de développement local. Il se présente comme « géoagronome », à la fois agronome et géographe. Sa leçon se déroule in situ face aux paysages remarquables des vallons de Marcillac, dans le périmètre des Rougiers, au nord-ouest de l’Aveyron, entre Rodez et Decazeville. (Une chronique de Jean-Claude Flamant. Mission Agrobiosciences "Une journée d’étude au pays de Farrebique et Biquefarre - 20 Avril 2006")

L’importance de l’impression première

Premier site. Nous sommes comme face à un théâtre, au spectacle : sous notre balcon en bordure de la petite route entre Panat et Goutrens nos yeux plongent sur le vallon de Clairvaux-d’Aveyron. Le soleil voilé de début de matinée joue de l’aquarelle, le vert des prairies et le rouge des sols nus de la vigne. Le regard est attiré par le bourg, en position

centrale, avec ses édifices anciens et massifs, comme posés au point idéal de convergence des lignes de pente. Jean-Louis Rouquette, membre du Groupe de Camboulazet, rappelle que « les paysages sont l’expression visuelle du vivant ». Une bonne centaine de personnes sont rassemblées en ce lieu escarpé, un public composé des membres assidus du Groupe de Camboulazet et de quatre-vingts lycéens du Lycée agricole de La Roque à Rodez. S’y sont joints des « témoins invités ». Le montage de cette journée prévoit en effet les interventions de « duos », sollicités pour réagir aux propos de Jean-Pierre Deffontaines. Pour Jean-Louis Rouquette, il s’agit d’un pari : illustrer de manière concrète et personnelle ce que l’on appelle « les points de vue », car l’appréciation des paysages est toujours une question de point de vue. Ont donc accepté de se livrer à cet exercice un architecte et des élus des communes du lieu, des éleveurs et des viticulteurs, des professionnels du tourisme, et aussi des militants d’associations soucieuses de la préservation de la qualité de l’environnement. Jean-Louis Rouquette a aussi eu l’idée de composer un « duo générationnel », composé de Marie-Thérèse Lacombe et de Marion, une lycéenne de La Roque ! Il y a quelques jours, Marie-Thérèse a emmené reconnaître les lieux sa jeune acolyte qui, habitant pourtant à cinq kilomètres de là, n’avait jamais fait le déplacement. Un peu comme les parisiens, c’est bien connu, qui ne sont jamais montés à la Tour Eiffel !

En guise d’introduction à sa leçon, Jean-Pierre Deffontaines confesse que face à un paysage, il ressent toujours une difficulté : comment l’aborder et organiser son analyse ? Il s’explique : après de très nombreuses années consacrés à la mise au point d’une méthodologie rigoureuse, il est arrivé à la conclusion que l’impression globale, l’impression première et intuitive, qu’il ressent face à un paysage, constituent une introduction incontournable à sa compréhension. Humilité de celui qui propose un « Guide méthodologique » de compréhension des paysages, mais qui commence par défendre qu’il ne faut surtout pas évacuer la subjectivité de l’observateur : « La vision spontanée constitue une qualité pour la connaissance ». Et il se livre pour nous à cet exercice « subjectif » en cherchant les mots les plus en accord avec ce qu’il ressent face au spectacle offert par ce paysage du vallon de Clairvaux-d’Aveyron : « Unité, Lisibilité, Harmonie ». Impressions unanimement partagées par les témoins invités à faire de même. Chacun vante les qualités de « ce site exceptionnel », « à forte attractivité touristique », « où il fait bon vivre », sur lequel la progression de l’habitat n’a pas encore eu des effets déstructurants ! L’architecte ressent même « de la jubilation face à ce paysage qui est comme un livre ouvert ». Et que commente le « duo générationnel » ? Pour Marion, les mots pour dire ce qu’elle ressent sont : « Liberté, Couleurs, Harmonie ». Et pour Marie-Thérèse : « Les paysages sont les compagnons vivants des personnes âgées. Leur beauté est un cadeau gratuit ».

Il faut seulement quelques minutes de voiture pour rejoindre le deuxième site, une terrasse d’observation d’où la vue plonge sur vallon de Glassac, avec une table d’orientation face à un large horizon qui s’étend jusqu’aux monts du Cantal. Même exercice que devant le vallon de Clairvaux. L’impression globale d’abord... Jean-Pierre Deffontaines apparaît comme perturbé. Cette fois, il cherche ses mots pour dire ce qui lui suggère le paysage. Son impression : « un fouillis où rien ne bouge ». Et, poursuivant ses réflexions introductives : « Cette impression de déprise agricole... c’est comme Farrebique ! Oui, ça me fait penser à Farrebique ! »

Le Maire de Goutrens qui accueille le Groupe de Camboulazet dans sa commune réagit, désignant des bâtiments en contrebas : « Mais ici... voyez-vous, c’est Farrebique ! ». Jean-Pierre ne savait pas, et je découvre moi-même, que c’est dans un cadre tout proche qu’avait été tourné en 1945 le fameux film, couronné par des distinctions prestigieuses au niveau mondial, et que son réalisateur, Georges Rouquier, avait complété quarante ans après, en 1984, par « Biquefarre », un retour sur les lieux.

Le discours de la méthode

Après l’expression de ces premières sensations suscitées par les paysages, vient « le discours de la méthode ». Jean-Pierre Deffontaines est vraiment un orfèvre en la matière, minutieux et pertinent : « Le paysage est un ensemble vivant à la fois complexe et évolutif. Il s’agit de l’observer pour comprendre le lieu, ce qu’il est pour ceux qui y vivent et aussi pour ceux qui y passent. Mais pour ce faire, il faut formuler une question. Car un paysage a pour intérêt de questionner celui qui l’observe ». Selon lui, la question centrale que pose le vallon de Clairvaux, tout comme celui de Glassac, c’est celle de l’agriculture : « Quel est le rôle de l’agriculture dans la société locale ? Quelle est sa situation et son influence sur les autres activités ? ». Cette question va fournir le fil conducteur des étapes suivantes de l’analyse. Second préalable, il faut mobiliser quelques informations élémentaires sur le positionnement du site dans son cadre géographique large. Une attention particulière est à accorder au réseau hydrographique qui fournit une clé essentielle, parce qu’il détermine la géomorphologie, c’est-à-dire les traits structurellement permanents d’un paysage tel que celui des vallons des Rougiers : ils dépendent de la vallée du Dourdou dans le bassin du Lot au nord, sans aucune relation avec le bassin de l’Aveyron au sud. Sur ces bases - la géomorphologie, la fonction des activités de l’agriculture - il faut identifier ensuite ce que sont « les composantes majeures du paysage », avec leurs contributions respectives aux surfaces. Ici, énonce Jean-Pierre Deffontaines, « je retiens trois composantes : la forêt et les surfaces arborées, l’agriculture, le bâti ». Tout est maintenant en place pour réaliser l’analyse détaillée et descriptive des « ensembles paysagers homogènes », que l’on peut appeler aussi « zones d’égale apparence », qui organisent le décor que nous avons sous les yeux.

Tout d’abord la forêt. Elle ne couvre probablement que 15% environ de la surface visible estime Jean-Pierre Deffontaines, mais elle marque par une bande sombre la retombée des bords de causses qui cernent le vallon, tout particulièrement le Causse Comtal vers Rodez. Et en dessous de cette zone forestière, voici, couvrant les pentes, des surfaces de prairies à larges parcelles et des vignes. En fait, le regard est attiré par ces vignes taillées, à nos pieds et sur le versant opposé au nôtre, dont la présence participe au sentiment que ce paysage est organisé. Les viticulteurs invités nous apprennent qu’avant la crise du phylloxéra, toutes les surfaces de pentes du Vallon étaient couvertes de vigne . Avec le retrait de la vigne, la forêt s’est installée sur les terrains les plus difficiles à travailler, tandis que les autres surfaces ont été consacrées aux prairies pour l’élevage. Au total, ces zones de pâturage et de vigne représentent de 75 à 80% des surfaces, à l’estimée.

Troisième ensemble paysager homogène, les surfaces consacrées au bâti, à peine 5% selon Jean-Pierre Deffontaines. Son diagnostic et, commente-t-il, « c’est pour moi une surprise », ce paysage est peu marqué par la dispersion de l’habitat. Alors que l’on est proche de Rodez, la commune de Clairvaux apparaît comme ayant échappé au « mitage » des lotissements ou des résidences secondaires que l’on observe ailleurs. Quel bel équilibre que celui réalisé entre le bourg de Clairvaux et les prairies et vignes environnantes ! Quelle beauté que celle de ces villages anciens accrochés sur les éperons des falaises caussenardes, avec des vestiges prestigieux tels que ceux du château de Panat à proximité à notre gauche ! Avec la vigne, tous ces éléments contribuent probablement à l’impression d’harmonie qui se dégage des lieux : « Un paysage humanisé ! ». Pourtant, Jean-Pierre Deffontaines insiste sur le fait que pour lui l’enjeu majeur de ce paysage rural réside dans sa capacité à maîtriser les conséquences négatives des influences urbaines. Car là est le danger ! Mais comment résister ? L’architecte et les maires présents confirment que c’est bien là le défi majeur, car il faut créer de l’habitat pour répondre à la forte demande résidentielle. Tout proches, Rodez et son agglomération se situent au premier niveau du dynamisme démographique des villes moyennes dans le sud-ouest de la France. Ici, il y a bien le risque de constructions individuelles et de lotissements sans souci des conséquences sur le paysage, le risque de mettre à mal ce qui apparaît à tous, sans contestation, comme « un des plus beaux paysages de France ».

Prolongeant sa réflexion sur le deuxième site, celui de Farrebique, Jean-Pierre Deffontaines s’interroge sur la faible pression d’habitat qu’il observe à quelques kilomètres seulement du vallon de Clairvaux : « Il faut se demander pourquoi dans un cas on observe un gros bourg promis à l’expansion, et dans l’autre il ne se passe rien ». Le sentiment que lui inspire ce paysage est celui dit-il d’« une perte d’humanité ». La composante forestière est envahissante. On dénombre quelques rares parcelles en vigne en contrebas, telles des vestiges. Une surface de bocage où se manifestent les signes de déprise agricole avec l’étalement des haies et des formes d’élevage extensif. ...

Tentatives de réponses et débat. Autour de Clairvaux, la qualité du paysage serait liée à la capacité des élus des collectivités locales à résister au mitage par l’habitat, en n’oubliant pas que les atouts touristiques du site sont évidents mais que l’agriculture a de réelles vulnérabilités économiques, et ceci pour l’élevage comme pour la vigne. Alors qu’ici, à Glassac Farrebique, il n’y a peut-être pas eu les acteurs nécessaires pour porter une dynamique locale de développement. Jean-Pierre Deffontaines se demande si « la solution à une réhabilitation du paysage ne résiderait pas dans le retour d’activités agricoles, la fonction de l’agriculture dans l’ingénierie des paysages »... Pourtant, le consensus n’est pas complet à propos de l’impression ressentie par les uns et par les autres contrairement à l’adhésion générale aux qualités du site de Clairvaux. Ainsi Marie-Thérèse Lacombe : « Mais moi, j’aime bien un paysage touffu, à l’allure sauvage comme celui-ci. Et puis en ce moment, l’ensemble vous apparaît gris parce que les arbres n’ont pas encore mis leurs feuilles. Dans deux ou trois semaines le point de vue sera remarquable avec toute sa verdure ! ». Et Jean-Pierre Deffontaines lui-même souligne l’autre qualité d’un tel paysage : « La biodiversité est probablement favorisée par cette expansion forestière qui est également un bon piège à CO2 ».

Retours sur les images

Incontestablement, nous avons quitté le vallon de Glassac avec un sentiment d’inachevé. Repassant dans ma tête ces images et ces interventions, je me rends compte que l’on a évacué une composante majeure de ces paysages des Rougiers que sont paradoxalement les Causses environnants. Peut-être en effet « l’impression première » que donne le Rougier de Glassac est-elle renforcée par une géomorphologie moins bien « bordée » que dans le vallon de Clairvaux. Alors que le vallon de Clairvaux est comme soigneusement enchâssé par le Causse Comtal avec ses falaises et ses éperons, les limites du Vallon de Glassac sont moins franches. D’où dans un cas un sentiment d’unité et dans l’autre une difficulté à saisir le sens du paysage. Il me revient les commentaires de Marion à propos de la beauté du Vallon de Clairvaux : « Oui mais pour moi les roches du causse c’est mieux ! ». Le Maire de Goutrens, dont le bourg est caussenard, nous a expliqué aussi qu’une partie du Vallon de Clairvaux et la majeure part de celui de Glassac dépendaient de sa commune. Jean-Pierre Deffontaines demande : « Mais n’y-a-t-il pas une complémentarité, au niveau des exploitations agricoles entre les terres de plateau et les terres de rougier ? » Réponse : « En fait non. Les gens qui avaient leurs exploitations sur le causse avaient quelques terres dans les pentes seulement pour leur vigne ». Et j’entends encore Marie-Thérèse Lacombe, dans la voiture qui me ramène à Rodez, qui m’explique que dans le classement de l’AOC Marcillac ce sont les terrains des pentes d’éboulis calcaires qui apparaissent les plus favorables. Alors, quu’est-ce que cela veut dire ? Que les Rougiers de Marcillac seraient sous influence caussenarde ?

Une autre question : « Quels commentaires formuler pour le futur ? » Je me la pose à l’écoute de ces évocations tout à fait passionnantes sur les dynamiques passées qui expliquent les traits des paysages. J’ai aussi entendu des remarques sur les transformations possibles, sur les risques encourus et les actions à entreprendre. Je pense que ce qui nous est rendu sensible devrait nous faire prêter attention aux « moteurs invisibles » de transformation des paysages. Des moteurs « invisibles » mais agissants qui sont aujourd’hui localisés dans l’enceinte des bourgs tels que Clairvaux-d’Aveyron ou Saint-Christophe ou, au-delà de l’horizon dans les villes telles que Rodez et son agglomération, ou encore Paris et Londres. On pourrait dire que l’avenir des territoires ruraux se joue dans les villes, dans la conception de la vie qui prévaut dans les quartiers et les cités et dans les attentes des gens pour leur habitat et leur cadre de vie. Ceci me conduit à considérer qu’il est nécessaire à un certain moment de procéder à un basculement du concept de « paysage » à celui de « territoire ». En fait, l’observation du paysage constitue une bonne entrée pour débattre des futurs des territoires. Et je comprends les différents « points de vue » sur les paysages formulés par les duos de Jean-Louis Rouquette comme étant aussi « des regards sur les futurs ». Regarder un paysage et le commenter, en se posant des questions sur ce qui y bouge, c’est utiliser le sensible pour débattre des futurs invisibles des territoires. En fait, ces différents « points de vue » peuvent être considérés comme étant aussi des visions prospectives sur des enjeux considérés comme importants pour l’évolution du cadre local : les futurs de l’habitat, de l’agriculture, l’élevage, la viticulture, la forêt, les couverts végétaux et l’environnement, le tourisme, et aussi le cadre de vie tel que perçu par les différentes générations...

Ainsi, les paysages que nous avons eu le privilège d’avoir sous les yeux par une matinée de printemps calme et rayonnante constituent un bon support pédagogique pour raisonner les futurs des territoires, pour engager une réelle démarche de réflexion prospective. Ce pourrait être un projet pour les jeunes élèves du Lycée agricole de La Roque.

Il a fallu attendre les années 60 pour que le retour de la vigne s’amorce, sous l’impulsion de quelques dirigeants agricoles qui n’ont pas craint de « bouleverser le paysage » en créant de nouvelles terrasses. L’AOC Marcillac a été obtenue en 1990, après un régime « VDQS » depuis 1966, accompagnée d’un effort sérieux concernant les cépages et la vinification. Il faut dire que la réputation du vin de Marcillac n’était pas très bonne, sa production ayant été longtemps consacrée comme vin de consommation courante pour la clientèle des mines de Decazeville. Le vignoble était prêt à disparaître. Pourtant, nous sommes bien ici dans un pays où la tradition de la vigne est ancienne. Ainsi, au Moyen-Age, l’existence de la vigne était liée à l’abbaye de Conques dès le 9ème siècle ainsi qu’aux chanoines de Rodez.

Eléments de méthode

Pour résumer la démarche illustrée par Jean-Pierre Deffontaines :

* D’abord expliciter la première impression subjective lors du premier contact.
* S’essayer à identifier la question que va illustrer le paysage choisi.
* Après ces préliminaires, repérer sur une carte, le cadre géomorphologique du paysage observé, avec une attention particulière pour le réseau hydrologique.
* Ensuite, nommer ce que sont les composantes majeures du paysage en essayant de leur attribuer une proportion dans le visuel.
* S’appuyer sur des ensembles paysagers homogènes, ou zones d’égale apparence, pour entrer dans les détails du paysage.
(Mais souligne Jean-Pierre Deffontaines, il est tout à fait possible de partir d’un point de détail qui accroche - par exemple les parcelles de vigne - pour remonter ensuite vers la compréhension globale).
* Et enfin, formuler les enjeux du paysage qui conditionnent son évolution et ses transformations futures.

Une journée d’étude au pays de Farrebique et Biquefarre - 20 Avril 2006

Ouvrages que l’on peut lire

Beaucoup d’ouvrages sont consacrés aux paysages de vignobles. Parmi les plus récents :

  • Jean-Paul Pigeat (Institut international des paysages et architectures viticoles) : « Les paysages de la vigne ». Solar Editeur, 2000
  • Colloque international, Abbaye Royale de Fontevraud (2, 3 et 4 juillet 2003) : « Paysages de vignes et de vins. Patrimoine, Enjeux, Valorisation »
  • « Patrimoine et paysages culturels », Actes du Colloque international de Saint-Emilion, 30 mai - 1er juin 2001. Editions Confluences

Un recueil des textes les plus significatifs des travaux de Jean-Pierre Deffontaines qui fondent sa méthodologie d’analyse des paysages : « Les sentiers d’un géoagronome, Jean-Pierre Deffontaines ». Editions Arguments, 1998.

Sur Marcillac et son vignoble, consulter : http://www.saveurs-aveyron.com/prod...

Lire la chronique de Valérie Péan « Le Paysage défiguré, figuré, reconfiguré... re-figuré ? »- exprimée dans le cadre de la « Conversation interdisciplinaire de la Maison Midi-Pyrénées. Une publication éditée par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences

Lire la Conférence débat de Gérard Tiné (Plasticien, professeur à l’Ecole d’Architecture de Toulouse de Toulouse) Histoire du paysage, enjeu économique, esthétique et éthique »- éditée par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.

Accéder à toutes les publications Agriculture et Société Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’agriculture. Edité par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.

Accéder à toutes les Publications : Alimentation et Société- Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’alimentation. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.

Accéder à tous les Entretiens et Publications : OGM et Progrès en Débat » - Des Points de vue transdisciplinaires... pour contribuer au débat démocratique. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences

Accéder à toutes les Publications : Sciences-Société-Décision Publique- Une « expérience pilote » d’échanges transdisciplinaires pour éclairer les enjeux, mieux raisonner, par l’échange, les situations de blocages en « Science et Société », instruire les débats en cours, clarifier des enjeux scientifiques et sociétaux des avancées de la recherche, participer à l’éclairage de la décision publique et proposer des réflexions et des objets de recherche à la science. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.

Accéder à toutes les Publications : Science et Lycéens- Des conférences de scientifiques de haut niveau et des débats avec les lycéens exprimées dans le cadre « L’Université des Lycéens » une expérience pilote pour lutter contre la désaffection des jeunes pour les carrières scientifiques. Ces publications constituent un outil pédagogique « vivant » qui favorise une lecture agréable et une approche « culturelle » de la complexité de la science. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.


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