01/12/2008
Le métier d’historien

Le loup et l’historien. Avant-propos pour la deuxième édition de "l’Histoire du méchant loup. 3000 attaques sur l’homme en France (XVè - XXè siècle)". Fayard, mai 2008.

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Nous tenons à remercier Jean-Marc Moriceau de nous permettre de publier cet avant-propos à la deuxième édition de son ouvrage l’Histoire du méchant loup. 3000 attaques sur l’homme en France (157 - 20è siècle), édité chez Fayard en mai 2008.
Rappelant la place et le rôle du travail de l’historien, Jean-Marc Moriceau rappelle que finalement la position dans laquelle l’Histoire du méchant loup place son auteur fait jaillir en pleine lumière l’intérêt du métier de l’historien. Le public qui ouvre le livre, et qui n’a pas toujours l’habitude de fréquenter ce type de littérature, découvre la relativité des « faits » historiques et de leur interprétation. Il saisit aussi la richesse des perspectives et des éclairages. Il mesure l’importance des analyses à la fois qualitatives et quantitatives. Il perçoit la nécessité à la fois de la contextualisation et des comparaisons spatio-temporelles. Il se rend compte du décalage culturel - des réalités physiques jusqu’au sens propre des termes - entre les différents passés et l’actuel. C’est à ce prix qu’est la vérité de l’histoire.

"Ouvrir la fabrique de l’histoire à un public diversifié : telle a été la volonté affichée dans l’écriture de cet ouvrage. Pour retrouver à quelles réalités renvoie l’image du Méchant loup, j’ai tenu à confronter directement le lecteur au travail de l’enquêteur. De la sélection des sources documentaires aux différents pans des conclusions, sans occulter les étapes successives du questionnement et du traitement imposé à l’information, un souci de transparence a prévalu. La publication de larges extraits documentaires et, pour les attaques de prédation, de l’intégralité de la base de données en porte témoignage. Le public n’a pas été pris au dépourvu. Il a pu pénétrer ici dans l’arrière-boutique du chercheur. Il ne s’est pas privé d’en profiter.
Depuis juin 2007 - date de sa sortie en librairie -, ce livre a suscité bon nombre de réactions. La plupart d’entre-elles ont apporté à l’auteur des informations nouvelles et des remarques dont il a été tenu compte ici. Actes de sépulture, procès-verbaux de reconnaissance de cadavres, documents sur la rage viennent compléter le corpus statistique. Éclairages sectoriels, interrogations ponctuelles et coquilles résiduelles ont entraîné quelques corrections. Pour un livre qui se veut une « synthèse provisoire », fournissant les éléments d’une enquête largement engagée mais nullement arrêtée, ces apports sont fructueux. Un certain nombre de critiques en revanche, presque toutes suscitées sur les forums de discussion dont internet est si friand, traduisent des positions qui sortent du cadre rationnel. Je ne les ai pas ignorées pour autant. En dépit de leur caractère souvent excessif - et parfois injustifié -, l’historien honnête peut y trouver des raisons d’avancer. C’est la raison pour laquelle j’ai tenu à y répondre, du moins quand le parti pris n’oblitérait pas trop les réactions.
Les apports documentaires inscrivent plus de 200 cas nouveaux d’attaques sur l’homme retrouvées dans les archives : 108 que l’on peut attribuer à des loups sains et 101 à des loups enragés. Le lecteur en trouvera le détail dans les deux nouveaux tableaux (47E et 49) qui complètent désormais les annexes du livre. Comme ces données ne font que confirmer l’analyse que l’on présente, et que d’autres vont certainement s’y ajouter, on n’a pas retouché, dans le corps de l’ouvrage, l’ensemble des cartes et des tableaux. Les données supplémentaires qui viennent s’agréger soulignent l’ampleur des découvertes à venir et l’état toujours indicatif des attaques recensées. En tenant compte de quelques rares suppressions dues à des doubles comptes - trois cas pour les attaques de prédateurs et un pour celles d’animaux enragés - on passe donc de 3 069 à 3 272 agressions (1 961 de sujets sains et 1 311 de loups contaminés)(1). Si l’abondance des mentions laisse toujours place à des cas particuliers, qu’il serait dangereux d’isoler de leur contexte, l’historien ne peut que se réjouir de l’enrichissement de sa base documentaire.
À la lecture de ces éléments nouveaux et d’un certain nombre de réactions, quelques précisions s’imposent. Elles se situent surtout dans trois registres différents : la validité des chiffres ; le rôle des curés comme informateurs ; l’identification des « bêtes ».
Certains lecteurs, décontenancés par l’ampleur relative du corpus rassemblé, dénoncent un éventuel sur-enregistrement des attaques. Or, comme nous les avions pourtant informés au début du livre, c’est leur sous-enregistrement qui est une évidence historique : au silence de certaines sources s’ajoute la disparition de nombreuses archives. Nous ne saisissons qu’une partie de la réalité. À l’époque même de leur production, ces sources étaient déjà incomplètes. Chez les recenseurs les plus scrupuleux, tout n’a pas été enregistré. Le 17 juillet 1695, pour prendre l’acte récemment retrouvé de l’inhumation de François Marionné « dévoré par les loups », le curé de Fondettes (Indre-et-Loire) précise que « lesdits loups ont dévoré beaucoup d’autres enfants dans cette paroisse » et aux environs depuis quinze jours. Son aveu recoupe celui de nombreux de ses confrères et il est clair qu’on ne connaîtra jamais l’intégralité des morts et encore moins le nombre des blessés. En juillet 1697, au sud de Saint-Brieuc, le recteur d’Hénon met en terre une jeune paroissienne de 7 ans « déchirée d’une bête inconnue ». Il signale que l’agresseur « a tué beaucoup d’autres gens dans les paroisses circonvoisines » en citant nommément Plœuc-sur-Lié, Plémy, Saint-Carreuc, Quessoy et Plédran. Sur Plouec on retrouve bien la trace d’une autre victime de 10 ans « déchirée du loup » et pour Loudéac, à une quinzaine de kilomètres plus au sud, on avait déjà rencontré un cas comparable au mois de juin puisqu’il ne restait d’un fillette de 4 ans « mangée des loups » que la tête et quelques restes. Mais ailleurs soit les registres restent silencieux soit ils ont disparu des collections répertoriées. De ce décalage entre les témoignages écrits qui subsistent et la réalité, le livre fournit bien d’autres exemples. Il signale aussi que c’est « en tache d’huile », à partir des données déjà enregistrées, que la recherche a le plus de chance d’avancer.
Parmi les rédacteurs de nos sources l’accent a été mis sur les curés car leur insertion dans le monde rural mais aussi leur position sociale et administrative en faisaient des informateurs de qualité - et tenus par le pouvoir d’être rigoureux. Certains internautes en ont paru surpris (2) . En lisant le livre, on en trouve bien toutes les raisons. Que l’on n’oublie pas cependant que certains officiers d’état civil qui ont succédé après 1792 aux desservants de paroisse ont fourni des témoignages comparables. Par ailleurs bien d’autres sources - notamment administratives ou médicales - viennent les corroborer. Les témoins ne manquaient pas dans les cas d’attaques de loups sains (les enfants étant presque toujours en bandes) et de loups enragés puisque l’accident survenait au milieu de la vie quotidienne. C’est au milieu de 12 à 13 bergers, tous plus âgés que lui, qu’un garçon de 12 ans est enlevé par un loup puis dévoré à Flammarans (Côte-d’Or) le 26 juin 1818. Pour toutes ces victimes, une certitude : elles étaient bien vivantes avant l’agression et il ne s’agissait pas d’actes criminels exposant des cadavres à la dent de bêtes sauvages ; la nécrophagie, tout aussi importante, concernait d’autres victimes, et d’autres sources (comme les levées de cadavres) qui ont été soigneusement exclues du corpus pour ne pas fausser les observations. Et, encore une fois, le passage de la nécrophagie à l’anthropophagie, sentiment récurrent chez les contemporains et véritable leitmotiv littéraire, n’a rien de sytématique, l’irruption des agressions sur l’homme intervenant par ailleurs souvent fort loin des champs de bataille.
Les qualifications usitées pour désigner l’animal agresseur ont fait couler beaucoup d’encre (ou plutôt de courriels). Pourtant tout un chapitre particulier leur est consacré (chapitre 9). Pour répondre à de légitimes interrogations, un traitement complémentaire, qui distingue les analyses selon la dénomination utilisée, a été réalisé. Il confirme, dans leurs grandes lignes, les conclusions déjà avancées : utilisées de manière alternative, pour désigner les mêmes types d’attaque sur l’homme et avec les mêmes conséquences (calendrier, mode opératoire, typologie des victimes), les expressions « loups » et « bêtes » - que ces animaux soient considérés comme « féroces », « carnassiers, « mauvais » etc -, sont le plus souvent interchangeables. Les méthodes et les techniques sont les mêmes, les résultats identiques. Veut-on scruter à la loupe quelques menues divergences ? Le champ de prédation des « bêtes » - sociologiquement et mensuellement - est un peu plus étendu avec une ponction moindre chez les moins de 15 ans (75 % au lieu de 84 %), et un maximum en été légèrement atténué (35 % contre 43 %). La seule différence tient à un usage populaire plus fréquent du terme de « bête » dans les séquences les plus dramatiques, marquées par des décès en série (56 % des occurrences alors contre 38 % pour l’ensemble des attaques). Dans ces périodes de « crise », les observateurs - curés mais aussi administrateurs - se rejoignent en prenant parfois leurs distances avec ces prédateurs « que le vulgaire appelle « la bête ». Sans exclure l’hypothèse d’hybrides de chiens et de loups - la question des chiens errants mériterait des investigations spécifiques, au demeurant délicates en raison des sources - l’opportunisme alimentaire du loup transparaît dans la plupart des cas.
Sur bien d’autres points, ces 200 nouveaux cas confirment les analyses générales : saisonnalité des attaques, nature des victimes, modes opératoires. Ils viennent étayer certains constats prudents avancés dans la première édition. Très majoritairement l’agression reste le fait d’un animal isolé et c’est pour venir à bout de proies plus grandes que les loups attaquaient à plusieurs : ils étaient deux pour dévorer une femme de 66 ans et jusqu’à quatre pour triompher d’une autre de 27 ans à Françay, à l’ouest de Blois, en octobre 1748 et novembre 1749 (3) . La dernière phase aiguë de cette tragique histoire, représentée dans les Cévennes entre 1809 et 1817 et en Nivernais entre 1814 et 1818 trouve une nouvelle confirmation avec le foyer redoutable qui s’est allumé en 1817-1819 à l’est de Dijon autour de la forêt de Longchamp (32 victimes dont une vingtaine de morts)(4).
Finalement l’historien est placé dans une situation contradictoire. D’une part, il n’a pas fini de mesurer l’impact de la dangerosité de Canis lupus. L’ampleur des informations laissées dans les archives - en dépit de toutes celles qui en ont disparu - est telle qu’il ne saisit qu’une partie de la réalité et les découvertes nouvelles viennent compléter sans cesse son corpus. Dans cette perspective, le bilan quantitatif des attaques causées par les loups - tout en restant tributaire de contextes environnementaux particuliers - ne cessera de s’alourdir, n’en déplaisent à ceux qui croient qu’en « blanchissant » l’image de l’animal ils faciliteront son développement actuel. Le loup est bien un animal ubiquiste et opportuniste. En dehors de son comportement de charognard et de nécrophage dont les victimes, rappelons-le ne font pas partie du corpus retenu, il a bien été anthropophage à l’occasion. Ce constat, un écologue comme François de Beaufort l’avait déjà fait en 1988 dans une thèse d’État ès sciences. Mais on n’en avait pas mesuré toutes les conséquences ni l’évolution dans le temps. L’imaginaire négatif du loup a trouvé longtemps dans la réalité de quoi se fortifier, en associant et parfois en confondant - c’est l’un des enjeux du livre que d’en rendre compte - loup sain et loup enragé. Sauf cas particuliers, le loup n’est pas le bouc émissaire de la criminalité de l’homme : l’intelligence criminelle d’Homo sapiens est telle qu’il n’a pas eu besoin de s’habiller sous la peau de l’animal. Par ailleurs, l’interconnaissance dans laquelle vivaient les sociétés rurales était si vive qu’elle excluait presque toujours l’anonymat des criminels. Enfin, la multiplicité des sources en matière d’homicides est si forte qu’elle fournit au chercheur des matériaux autrement plus conséquents que ceux dont on dispose pour Canis lupus. Si l’on voulait renverser un peu la charge de la preuve, ne pourrait-on pas s’intéresser davantage au cas des « sorciers » et des « loups-garous » envoyés sur le bûcher aux XVIe et XVIIe siècles dont certains ont payé sans doute de leur vie le souci des populations rurales de trouver un bouc-émissaire à de vulgaires attaques de loups sur leur progéniture ?
D’autre part, l’historien ne peut être assuré systématiquement de l’identité de tous les prédateurs. Les recoupements de sources auquel il peut procéder, l’analyse des perceptions culturelles distinctes de l’animal, les analyses comparées des attaques réduisent bien la part d’incertitude. L’expression « loup ou autre bête féroce », qui surgit sous la plume de nombreux rédacteurs, conduit généralement à une assimilation à Canis lupus. Mais il reste des exceptions, à tout le moins des marges d’incertitude. En fournissant au lecteur les résultats provisoires de cette grande enquête, je les avais signalées. À lire les observations de certains naturalistes, il me paraît prudent d’ouvrir davantage la part du doute et en particulier l’action des chiens dangereux et les méfaits des animaux hybrides de loups et de rudes mâtins même si statistiquement ces cas ont été fort rares. Pour les attaques d’animaux enragés, les contemporains - comme on l’a déjà souligné - opéraient aisément la distinction entre chien et loup. Pour les attaques de prédation, il n’en allait pas toujours ainsi, quand bien même leurs manifestations et leurs conséquences étaient voisines ou identiques. Certaines descriptions voire certaines représentations figurées - mais quel crédit peut-on leur accorder ? - se rejoignent pour souligner, de manière récurrente, la spécificité de certains agresseurs. La présence de marques de couleur sur le pelage, la taille hors-normes de certains sujets et leurs caractères hybrides signalaient de véritables « monstres ». Les grandes bêtes peuvent donner lieu à différentes interprétations. Sur les plans éthologique et zoologique, des avancées sont possibles mais au prix d’un examen interdisciplinaire comparé de situations qui restent souvent ambiguës ou mal documentées. Ces cas particuliers, sur lesquels le livre s’était déjà ouvert, ne sauraient remettre en cause la réalité majoritaire de la dangerosité du loup sur l’homme dans des contextes de forte vulnérabilité. Ils appellent en revanche à poursuivre l’enquête.
Au demeurant, et quelle que soit l’identité biologique absolue de tous ces canidés tueurs, l’ouvrage a bien montré qu’ils agissaient comme des révélateurs de l’histoire des hommes. Sous l’angle particulier de ces attaques, l’observateur perçoit le fonctionnement des sociétés, la mise en valeur des espaces ruraux, la gestion de l’environnement, l’état de la sécurité intérieure et celui des rapports avec la faune sauvage. Pour la sociologie historique comme pour l’histoire économique, pour l’étude des mentalités ou l’histoire du droit, pour l’histoire des sciences et des techniques, pour la géographie historique ou l’histoire de l’environnement ces quelque 3 000 attaques sur l’homme en France offrent des éclairages inédits. En cherchant encore plus et en approfondissant les analyses, c’est bien toujours l’homme que l’historien retrouvera.
Finalement la position dans laquelle l’Histoire du méchant loup place son auteur fait jaillir en pleine lumière l’intérêt du métier de l’historien. Le public qui ouvre le livre, et qui n’a pas toujours l’habitude de fréquenter ce type de littérature, découvre la relativité des « faits » historiques et de leur interprétation. Il saisit aussi la richesse des perspectives et des éclairages. Il mesure l’importance des analyses à la fois qualitatives et quantitatives. Il perçoit la nécessité à la fois de la contextualisation et des comparaisons spatio-temporelles. Il se rend compte du décalage culturel - des réalités physiques jusqu’au sens propre des termes - entre les différents passés et l’actuel. C’est à ce prix qu’est la vérité de l’histoire.
Caen, au Pôle Rural
MRSH-Université, avril 2008

Notes :
(1) Pour cette collecte, je tiens à remercier une vingtaine de correspondants qui ont bien voulu m’apporter des éléments sur 17 départements : Julien Alleau (Alpes de Haute-Provence et Haute-Savoie), Jacques Baillon (Bouches-du-Rhône), Rémi Beaujouan (Loir-et-Cher), Philippe Cendron (Nièvre), Antoine Follain (Nièvre), Geneviève Gandy (Indre-et-Loire), Charles Gardelle (Isère), Frédéric Gaultier (Indre-et-Loire et Loir-et-Cher), Paul George (Aube), André Laurent (Alpes-de-Haute-Provence), Brigitte Maillard (Maine-et-Loire), Christophe Maneuvrier (Seine-Maritime), Christian Morizot (Nièvre), Rodolphe Papet (Hautes-Alpes), Gilles Platret (Côte-d’Or, Saône-et-Loire), Michel Rudloff (Haut-Rhin), Christian Thomas (Sarthe), Anne-Cécile Tizon-Germe et Linda Vée (Loir-et-Cher).
(2) Jusqu’à alléguer un « véritable complot des curés » préjugé contre lequel avait déjà réagi Gilles Ragache, Le Retour des loups, 1990, p ; 232-234 : « un complot clérical ? ».
(3) Frédéric Gaultier, La Bête du Val de Loire (1742-1754), Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2007, p. 89, 153 et 155.
(4) Gilles Platret, Les loups dans l’histoire de Bourgogne, Chalon-sur-Saône, chez l’Auteur, 2007, p. 87-89, 97 et 115.

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Par Jean-Marc Moriceau, Professeur d’Histoire moderne à l’université de Caen, Président de l’Association d’histoire des sociétés rurales, Directeur de la Maison de la Recherche en sciences humaines de l’Université de Caen Basse-Normandie.

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